Des questions à propos de votre séance d’ostéopathie à la Valette-du-Var ? Votre ostéopathe Laurent de Biase vous répond.

Avant toute chose, consultez les modalités de votre contrat avec votre mutuelle ainsi que vos droits. La grande majorité des mutuelles prennent en charge les frais d’ostéopathie ! La CMU cependant ne le fait pas. Si votre organisme prend en charge en totalité ou en partie les consultations d’ostéopathie, il suffit d’envoyer la note d’honoraire délivrée par Laurent de Biase à votre mutuelle. Veillez à bien renseigner votre numéro de sécurité sociale ainsi que votre numéro de mutuelle avant envoi.

Les consultations en ostéopathie ne sont pas prises en charge par la Sécurité Sociale. Chaque ostéopathe est donc libre de fixer ses honoraires. Ceux de Laurent de Biase s’élèvent à 60€ pour les adultes et 55€ pour les moins de 10 ans et les nourrissons. Cependant, la majorité des mutuelles prennent en charge une partie ou la totalité de la consultation ! La demande de la part des assurés augmente, de plus en plus de mutuelles répondent à cela et autorisent un remboursement. De plus, la prise en charge ostéopathique est le plus souvent préventive et permet de diminuer le coût total de la prise en charge des patients concernés.

L’ostéopathie et l’étiopathie ont pour différence leur pays d’origine. L’étiopathie est une pratique qui est enseignée en Suisse. En France nous parlons d’ostéopathie !

Dans les deux cas, c’est une approche du corps dans sa globalité, d’une thérapie axée sur la recherche de la cause du problème ou de la douleur, dans laquelle les seuls outils du thérapeute sont ses mains.

La chiropraxie est cependant un exercice différent de l’ostéopathie. Elle s’axe uniquement sur le domaine articulaire. Le point commun est que les 2 techniques sont exclusivement des pratiques manuelles.

Le terme « première intention » est ici utilisé pour signifier qu’il n’est pas nécessaire de disposer d’une ordonnance pour consulter un ostéopathe. Le thérapeute dit de première intention a donc une responsabilité particulière, celle du diagnostic qui doit être réalisé sans erreur pour votre sécurité. Seulement cinq types de praticiens bénéficient de ce statut en France : l’ophtalmologiste, l’ostéopathe, le médecin généraliste, le gynécologue et le dentiste. Le kinésithérapeute agit lui, sous prescription médicale.

Le praticien complète la médecine allopathique. Pour poser un diagnostic, il est parfois amené à demander des clichés radiologiques ou des analyses médicales préalables. L’ostéopathe intervient en complément de la médecine traditionnelle et ce, de plus en plus fréquemment !

Elle se différencie de l’ostéopathie anglo-saxonne qui elle, est principalement ostéo-articulaire. Celle-ci s’attarde donc sur les os et les articulations. L’ostéopathie française est bien plus complète ! Elle s’inscrit également dans le domaine ostéo-articulaire mais également viscéral et crânio-sacré. Les praticiens français ont donc une reconnaissance internationale sur ce domaine et ont plus de possibilités et de champs d’action.

Selon l’arrêté du 25 Janvier 2011, ISOstéo est habilité à délivrer le titre d’ostéopathe de niveau 1 du RNCP.

Le RNCP recense et classifie les professions en France pour permettre aux professionnels de situer tout d’abord les niveaux de responsabilités et ensuite, les niveaux de rémunération des différentes activités.

5 catégories existent, la plus élevée est le niveau 1.

Le Diplôme ISOstéo est reconnu niveau 1 au RNCP depuis février 2011. Cette reconnaissanceest aussi valable sur les promotions précédentes, soit 2009 et 2010. Cela signifie que le diplôme délivré par ISOstéo est reconnu dans le milieu professionnel au même niveau que les diplômes d’ingénieurs, pour donner un exemple. Il est habituel de dire que cette reconnaissance correspond au diplôme de niveau bac + 5 ou Master 2.

Cet avantage décisif pousse les diplômés ISOstéo en tête des ostéopathes, les plus professionnellement qualitatifs. Elle permet à ces praticiens de se situer dans la même catégorie salariale que les médecins, ce qui n’était pas le cas jusqu’à maintenant. Cette certification contribue aussi à la valorisation de la profession d’ostéopathe en qualifiant officiellement le niveau de responsabilité et de connaissances.

Non, il n’est pas indispensable de réaliser plusieurs séances d’ostéopathie ! Tout dépend de la gravité des troubles rencontrés, de leur origine et bien sûr du diagnostic effectué lors de votre première visite.

Comme expliqué sur notre page Ostéopathie, les articulations sont pourvues d’une capsule contenant un lubrifiant. Parfois, des bulles d’air sont piégées dans ce liquide et, quand deux articulations s’éloignent l’une de l’autre, les bulles se dissolvent.

Cette manipulation peut replacer les articulations déplacées ou bloquées, et se produit alors un « crac ». La libération de l’articulation peut être silencieuse, tout comme un craquement peut être non significatif. L’ostéopathe recherche le soulagement et pas forcément un « crac ».